Lifting Deep Plane à Paris
Chirurgie Esthétique Pr Meningaud
Le lifting aujourd’hui
Les liftings sont devenus conservateurs, c’est-à-dire respectueux des tissus, en enlevant moins de peau ou graisse. A l’extrême, on ne retire pas de peau, la reconstitution des volumes perdus suffit.
La plastie du cou est enfin devenue durablement efficace avec des résultats prédictibles. De nombreux tâtonnements ont été nécessaires pour arriver à ce résultat. On peut maintenant retrouver un cou gracieux en garantissant un angle de 90 à 110 ° entre le cou et la face sans enlever de peau.
La zone médio-faciale est désormais prise en compte. La chirurgie maxillo-faciale a permis également d’accentuer le rajeunissement de certaines zones par l’intermédiaire d’actions sur les os de la face, soit par des découpages osseux que l’on appelle ostéotomies, soit par des petites prothèses associées, pour mettre en valeur les pommettes ou effacer des sillons nasogéniens rebelles aux techniques d’injection.
Le Lifting Deep Plane à Paris 16
Chirurgien Maxillo-Facial Paris Ouest

Comment se déroule un lifting ?
Le lifting est un travail artistique en trois dimensions. Le vieillissement s’accompagne d’un effacement des volumes, notamment au niveau des pommettes créant ce que l’on appelle poétiquement « la vallée des larmes ». Avec l’âge, des rides profondes se créent au niveau des sillons nasogéniens. Un peu plus bas, une accumulation de graisse se fait au niveau des bas-joues. Enfin, sous le menton la graisse s’accumule avec les années. Il faut donc, pour chaque patient, définir une stratégie spécifique visant à reconstituer certains volumes et en effacer d’autres. Dans son arsenal thérapeutique, le chirurgien dispose de plusieurs armes.
Le lifting centrofacial
Il peut notamment déplacer des graisses grâce au lifting centrofacial. Il s’agit de lifter toute la région située entre les paupières et la lèvre supérieure avec des attaches solides sur le rebord orbitaire inférieur. La chirurgie peut aussi réaliser un traitement direct sur la graisse par ablation ou ajout. Une bonne connaissance de l’anatomie permet d’aspirer la région sous mentale ou des zones autrefois considérées comme délicates telles les bajoues. En effet, dans cette région le nerf facial est à proximité, mais une bonne connaissance des plans et une orientation correcte de la canule d’aspiration rend le geste sûr.
Les injections de Botox
A un stade précoce, une correction peut être apportée par des injections de toxine botulique. Une correction plus efficace et plus définitive peut être apportée par des sections ou des plasties d’allongement de certaines fibres musculaires. Trois zones sont essentiellement concernées : le bord antérieur du muscle peaucier du cou, la glabelle où se situent les rides du lion (zone située entre les sourcils) et la région située sous le coin des lèvres où apparaissent les plis d’amertume. Il existe plusieurs techniques pour le faire dont certaines sont mini-invasives par endoscopie. Une instrumentation adaptée a été créée. D’autres muscles au contraire, ont tendance à se relâcher. La dissection du plan musculaire que l’on appelle le SMAS (Système Musculo Aponévrotique Superficiel) permet de diminuer l’étendu de la dissection cutanée, et donc d’être à la fois plus efficace et moins traumatisant.
Pr Jean-Paul Meningaud à Paris
Lifting Deep Plane à Paris Ouest
Petite histoire du lifting
Lorsque j’étais étudiant les liftings consistaient uniquement à décoller et à tirer la peau. Les cicatrices étaient considérables. Les patientes avaient des suites longues et difficiles. Leur visage avait l’air tiré. Il leur était difficile de cacher qu’elles avaient eu un lifting. Sous la pression de la médecine esthétique, les liftings sont devenus de moins en moins invasifs et surtout plus efficaces. L’effet réel d’un lifting était d’à peine trois ans. Il a fallu montrer que l’on pouvait obtenir nettement plus en termes de rajeunissement avec des suites courtes compatibles avec une vie professionnelle active.
Le lifting s’est démocratisé et s’adresse donc principalement à des personnes qui travaillent. Il faut que les patientes (ou patients) puissent récupérer en quinze jours au plus. Le lifting moderne vise à minimiser les cicatrices et dans tous les cas à les rendre insoupçonnables. Il prend en considération le vieillissement de la peau elle-même. Il ne s’agit plus uniquement de retendre une peau flétrie, mais de lui redonner sa jeunesse. Un travail en trois dimensions est réalisé. On ne veut plus de ces visages tirés, plats sans relief. Il faut composer avec les volumes, en effacer certains, en recréer d’autres. Un travail important est désormais réalisé sur les muscles eux-mêmes et non uniquement sur la peau. Ce n’est plus la peau qui supporte la tension du lifting, mais le plan musculaire. Par ailleurs, une meilleure compréhension du vieillissement de la face a permis d’envisager de retendre certaines fibres musculaires, mais d’en détendre d’autres, parfois au sein d’un même muscle, tel le muscle peaucier du cou.
Le lifting aujourd’hui
Les liftings sont devenus conservateurs, c’est-à-dire respectueux des tissus, en enlevant moins de peau ou graisse. A l’extrême, on ne retire pas de peau, la reconstitution des volumes perdus suffit. La plastie du cou est enfin devenue durablement efficace avec des résultats prédictibles. De nombreux tâtonnements ont été nécessaires pour arriver à ce résultat. On peut maintenant retrouver un cou gracieux en garantissant un angle de 90 à 110 ° entre le cou et la face sans enlever de peau. Nous y reviendrons. La zone médio-faciale est désormais prise en compte. La chirurgie maxillo-faciale a permis également d’accentuer le rajeunissement de certaines zones par l’intermédiaire d’actions sur les os de la face, soit par des découpages osseux que l’on appelle ostéotomies, soit par des petites prothèses associées, pour mettre en valeur les pommettes ou effacer des sillons nasogéniens rebelles aux techniques d’injection.
Plusieurs avancées ont permis ce résultat. Auparavant, les cicatrices étaient simplement cachées dans les cheveux et dans un pli devant l’oreille. Mais comme le lifting reposait essentiellement sur une traction de la peau, les cicatrices finissaient par s’élargir et devenir visibles, interdisant certaines coiffures. Souvent, elles donnaient un aspect de lobules d’oreille tirés vers le bas modifiant ainsi son anatomie et signant définitivement le lifting. Actuellement, il est considéré que le lifting ne doit plus reposer sur une tension cutanée. Après remise en tension de certains muscles (et relâchement d’autres muscles), la peau doit s’appliquer sans tension.
Par ailleurs, une partie importante de la cicatrice peut être cachée à l’intérieur de l’oreille dans le conduit auditif externe. Une nouvelle technique de suture appelée suture trichophytique permet de rendre invisibles les cicatrices du cuir chevelu, amenant les cheveux à repousser à travers elles[1]. On doit ce progrès à un chirurgien capillaire sud-coréen que j’ai eu l’opportunité de visiter en 2015 dans son institut à Seoul, le Dr Dae Young Kim. Enfin, une récente innovation d’origine brésilienne, permet de réduire à quasiment zéro le risque d’hématomes, tout en se passant des drains et en réduisant considérablement les suites[2].
Le vieillissement de la peau
Les liftings sont devenus conservateurs, c’est-à-dire respectueux des tissus, en enlevant moins de peau ou graisse. A l’extrême, on ne retire pas de peau, la reconstitution des volumes perdus suffit. La plastie du cou est enfin devenue durablement efficace avec des résultats prédictibles. De nombreux tâtonnements ont été nécessaires pour arriver à ce résultat. On peut maintenant retrouver un cou gracieux en garantissant un angle de 90 à 110 ° entre le cou et la face sans enlever de peau. Nous y reviendrons. La zone médio-faciale est désormais prise en compte. La chirurgie maxillo-faciale a permis également d’accentuer le rajeunissement de certaines zones par l’intermédiaire d’actions sur les os de la face, soit par des découpages osseux que l’on appelle ostéotomies, soit par des petites prothèses associées, pour mettre en valeur les pommettes ou effacer des sillons nasogéniens rebelles aux techniques d’injection.
Plusieurs avancées ont permis ce résultat. Auparavant, les cicatrices étaient simplement cachées dans les cheveux et dans un pli devant l’oreille. Mais comme le lifting reposait essentiellement sur une traction de la peau, les cicatrices finissaient par s’élargir et devenir visibles, interdisant certaines coiffures. Souvent, elles donnaient un aspect de lobules d’oreille tirés vers le bas modifiant ainsi son anatomie et signant définitivement le lifting. Actuellement, il est considéré que le lifting ne doit plus reposer sur une tension cutanée. Après remise en tension de certains muscles (et relâchement d’autres muscles), la peau doit s’appliquer sans tension.
Par ailleurs, une partie importante de la cicatrice peut être cachée à l’intérieur de l’oreille dans le conduit auditif externe. Une nouvelle technique de suture appelée suture trichophytique permet de rendre invisibles les cicatrices du cuir chevelu, amenant les cheveux à repousser à travers elles[1]. On doit ce progrès à un chirurgien capillaire sud-coréen que j’ai eu l’opportunité de visiter en 2015 dans son institut à Seoul, le Dr Dae Young Kim. Enfin, une récente innovation d’origine brésilienne, permet de réduire à quasiment zéro le risque d’hématomes, tout en se passant des drains et en réduisant considérablement les suites[2].
Lifting deep plane : les glandes salivaires
Une autre avancée est apparue récemment dans le domaine du rajeunissement facial. Il s’agit de la prise en compte du vieillissement des glandes salivaires. Nous avons quatre glandes principales : les deux glandes parotides et les deux glandes submandibulaires. Avec l’âge, elles ont tendance à s’hypertrophier et se ptôser.
Cela est bien sûr variable d’une personne à l’autre, mais toujours favorisé par les prises de poids/amaigrissement itératives. L’hypertrophie des glandes parotides a tendance à donner un visage en forme de « poire ». Auparavant, le traitement en était complexe puisqu’il fallait réaliser une chirurgie risquée pour le nerf facial.
Un traitement alternatif beaucoup plus simple et très efficace consiste à réaliser une plicature du fascia qui recouvre la glande. Concernant les glandes submandibulaires, le diagnostic d’hypertrophie et de ptôse doit absolument être fait en préopératoire du lifting.
Sinon, après dégraissage du cou et remise en tension musculaire, les glandes peuvent apparaître paradoxalement beaucoup plus saillantes. Si elles sont hypertrophiées, il convient d’en réaliser l’exérèse partielle. Il s’agit désormais d’une technique bien codifiée et sûre. Si elles sont simplement ptôsées, il est possible de les amarrer vers le haut.
Les résultats des liftings
Les illustrations ne sont pas des photographies mais des croquis réalisés par l’auteur soulignant par des traits en pointillé les zones d’intervention (visage et cou) ciblées lors d’ une chirurgie de rajeunissement. Les résultats peuvent varier d’ un patient à l’ autre en fonction de l’état de la peau, du mode de vie , de son âge et de son état général de santé.
Publications
[1] Kim CK, Kim DY, Kim JY. Asymmetric dermal-subdermal suture in trichophytic closure for wide hair transplantation donor wound. Dermatol Surg. 2013;39(7):1124-1127.
[2] Auersvald A, Auersvald LA. Hemostatic net in rhytidoplasty: an efficient and safe method for preventing hematoma in 405 consecutive patients. Aesthetic Plast Surg. 2014;38(1):1-9.
[3] Le Dr Vladimir Mitz est le premier à avoir décrit le SMAS (système musculo aponévrotique superficiel) qui a révolutionné la prise en charge des liftings. The Superficial Musculo Aponeurotic System (Smas) In The Parotid And Cheek Area. Mitz, Vladimir, Peyronie, Martine Plastic and Reconstructive Surgery: July 1976 – Volume 58:80-88.
[4] Coleman SR. Long-term survival of fat transplants: controlled demonstrations. Aesthetic Plast Surg. 1995;19(5):421-425.
[5] Coleman SR. Structural fat grafting. Aesthet Surg J. 1998;18(5):386-388.
[6] Barbara Hersant, Jonathan Bouhassira, Mounia SidAhmed-Mezi, Luciano Vidal, Mayoura Keophiphath, Barbara Chheangsun, Jeremy Niddam, Romain Bosc, Aurelie Le Nezet, Jean-Paul Meningaud, Anne Marie Rodriguez. Should platelet-rich plasma be activated in fat grafts? An animal study. J Plast Reconstr Aesthet Surg. 2018;71(5):681-690.
Questions souvent posées par les patients à propos du lifting deep plane
Chirurgie esthétique à Paris Ouest
Qu'est-ce qu'un lifting deep plane ?
Un lifting deep plane est une technique de lifting du visage qui cible les couches profondes de la peau et des muscles, offrant des résultats plus naturels et durables comparé aux techniques traditionnelles.
Comment se distingue-t-il d'un lifting traditionnel ?
Contrairement au lifting traditionnel qui resserre principalement la peau, le lifting deep plane ajuste aussi les structures musculaires sous-jacentes, réduisant ainsi la tension sur la peau et améliorant les résultats esthétiques.
Quels sont les principaux avantages du lifting deep plane ?
Les avantages incluent des résultats plus naturels, une meilleure définition des contours du visage, une durée plus longue des résultats, et moins de tension visible sur la peau.
Qui est un bon candidat pour un lifting deep plane ?
Les bons candidats sont généralement ceux qui présentent un relâchement modéré à sévère de la peau du visage et du cou, et qui cherchent une amélioration significative et durable.
Quelle est la durée de récupération après un lifting deep plane ?
La récupération peut prendre de deux à quatre semaines, pendant lesquelles les patients peuvent éprouver des gonflements et des ecchymoses, mais les activités normales peuvent souvent être reprises après deux semaines.
Le lifting deep plane est-il douloureux ?
Les patients peuvent ressentir un inconfort, surtout dans les premiers jours après la chirurgie, mais la douleur est généralement gérable avec des médicaments prescrits par le chirurgien.
Quels risques sont associés à cette procédure ?
Comme pour toute chirurgie, il existe des risques tels que l’infection, les réactions à l’anesthésie, les saignements, les cicatrices anormales, et des modifications de la sensation cutanée.
Combien de temps durent les résultats d'un lifting deep plane ?
Les résultats peuvent durer de dix à quinze ans, selon les facteurs individuels comme l’âge, le type de peau, et le style de vie du patient.
Le lifting deep plane peut-il être combiné avec d'autres procédures ?
Oui, il est souvent combiné avec d’autres procédures comme la blépharoplastie (chirurgie des paupières) ou un lifting temporal pour maximiser les résultats esthétiques.
Comment choisir un chirurgien qualifié pour un lifting deep plane ?
Il est crucial de choisir un chirurgien certifié en chirurgie plastique qui a une expérience spécifique dans les techniques de lifting deep plane.
Quelle est la différence entre un lifting deep plane et un mini-lift ?
Un lifting deep plane est plus complet et cible des couches plus profondes du visage pour un rajeunissement plus marqué, tandis qu’un mini-lift cible des zones spécifiques avec moins d’invasivité et une récupération plus rapide.
Peut-on voir immédiatement les résultats du lifting deep plane ?
Non, les résultats finaux ne sont généralement visibles qu’après que le gonflement et les ecchymoses aient diminué, ce qui peut prendre plusieurs semaines.
Le lifting deep plane laisse-t-il des cicatrices visibles ?
Toute chirurgie laisse des cicatrices, mais celles du lifting deep plane sont généralement bien cachées dans les contours naturels du visage et derrière les oreilles, les rendant moins visibles.
Comment les patients doivent-ils se préparer pour un lifting deep plane ?
Les patients doivent éviter de fumer, de prendre certains médicaments et de consommer de l’alcool avant la chirurgie. Une bonne nutrition et une hydratation adéquate sont également importantes pour favoriser la guérison.
Quel type d'anesthésie est utilisé pendant un lifting deep plane ?
La procédure est généralement réalisée sous anesthésie générale, bien que dans certains cas, une anesthésie locale avec sédation puisse être utilisée.
Un lifting deep plane peut-il corriger les asymétries faciales ?
Bien qu’il puisse améliorer l’équilibre général du visage, le lifting deep plane n’est pas conçu spécifiquement pour corriger les asymétries majeures.
Y a-t-il des soins spécifiques à suivre après un lifting deep plane ?
Oui, les soins post-opératoires peuvent inclure l’utilisation de compresses froides pour diminuer le gonflement, la prise de médicaments anti-inflammatoires et antibiotiques, et le suivi des instructions spécifiques du chirurgien pour le soin des plaies.
Quand les patients peuvent-ils reprendre le travail après un lifting deep plane ?
La plupart des patients peuvent retourner au travail environ deux à quatre semaines après la chirurgie, selon la nature de leur travail et le taux de guérison individuel.
Le lifting deep plane affecte-t-il les expressions faciales ?
Lorsqu’il est correctement effectué, un lifting deep plane devrait préserver ou même améliorer les expressions faciales naturelles, en évitant l’aspect « tiré » que certaines techniques moins avancées peuvent produire.
Quel est le coût moyen d'un lifting deep plane ?
Le coût peut varier considérablement en fonction de la région géographique, de l’expérience du chirurgien et de la complexité de la procédure, mais il est généralement plus élevé que celui des liftings moins invasifs en raison de sa complexité et de ses résultats supérieurs.
Combien de temps dure l'opération de lifting deep plane ?
L’opération dure généralement entre trois et six heures, en fonction de l’étendue des zones traitées et des techniques spécifiques utilisées par le chirurgien.
Est-ce que le lifting deep plane est recommandé pour les hommes et les femmes ?
Oui, cette technique convient à la fois aux hommes et aux femmes qui cherchent à obtenir un rajeunissement facial approfondi et durable.
Peut-on répéter un lifting deep plane plusieurs années après le premier ?
Oui, un second lifting deep plane peut être réalisé plusieurs années après le premier si le patient souhaite rafraîchir les résultats, en tenant compte de l’évolution naturelle du vieillissement.
Quelles sont les précautions à prendre après un lifting deep plane pour maintenir les résultats ?
Il est recommandé de maintenir une protection solaire rigoureuse, d’adopter une alimentation saine, de rester hydraté, d’éviter le tabagisme, et de suivre un régime de soins de la peau adapté pour prolonger les résultats.
Le lifting deep plane est-il couvert par l'assurance ou considéré comme une procédure cosmétique ?
Si la finalité est thérapeutique (asymétrie faciale, séquelle de paralysie, etc.), il peut y avoir une prise en charge partielle.
Quels sont les signes d'une complication après un lifting deep plane ?
Les signes incluent des saignements excessifs, des infections, des réactions sévères aux points de suture, une cicatrisation anormale, et des changements prolongés dans la sensation de la peau.
Comment les résultats d'un lifting deep plane se comparent-ils à ceux obtenus avec des fillers ou du Botox ?
Les résultats d’un lifting deep plane sont plus complets et durables car la procédure repositionne les tissus profonds et améliore l’ensemble de la structure du visage, contrairement aux fillers et au Botox qui sont temporaires et ciblent des problèmes spécifiques comme les rides.
Quels types de suivi sont nécessaires après un lifting deep plane ?
Un suivi régulier avec le chirurgien est nécessaire pour évaluer la guérison et l’adaptation post-opératoire. Des visites de suivi sont généralement prévues après une semaine, un mois, et puis annuellement.
Le lifting deep plane peut-il être effectué en ambulatoire ?
Oui, si elle n’est pas associé à d’autres gestes et que le cas est simple, cette procédure peut être réalisée en ambulatoire, ce qui signifie que le patient peut rentrer chez lui le jour même de l’opération, selon son état de santé général et les recommandations de son chirurgien.
Comment gérer les attentes en matière de résultats après un lifting deep plane ?
Il est important que les patients aient des discussions ouvertes et réalistes avec leur chirurgien sur les résultats attendus, comprenant que la chirurgie vise à améliorer l’apparence et non à changer complètement le visage.